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Chroniques et joli couteaux
2 décembre 2007

KNTR #5 - Juin 2001, Après l'amour

The Kronik’s News Travel Report #5

Salut les péwouais d’la Yaute et d’aut’part,

Pour rien changé du « The Kronik's News Travel Report #3 », Mac Pécor’ Kronik, en plein travelling terrestre, se remet en quatre pour une nouvelle aventure dans le monde, inexplicable et multifacette, de l’amour. Dans ce « The Kronik's News Travel Report #5 » qui commence à peine, attardons nous un poquito sur « l’après » amour.

C’est vrai quoi, il s’en passe tellement des choses après l’amour que j’allais pas passer à côté après le numéro précédent de cette feuille de PQ mailée #3. Quand ça m’a réveillé le neurone, j’étais à l’aéroport de Beijing, je venais de faire mes « adieux à la prochaine » à un ch’ti soleil de Pékin qui m’a bien éblouit. En condition optimale donc je m’interloquais intérieurement sur : Mais putain de chiotte à roulette, mais que reste t’il après l’amoureeeuuuuuuu ????? Quand il se met en pause, que devient-il, qu’il soit de chair, de cœur, d’esprit ou des trois ?

Il faut dire que je suis spécialiste. Je mets un point d’honneur à faire les choses correctement alors j’y met le temps. J’peux vous dire qu’y à du vécu.

Ami(e)s de tous poils, bonne lecture.

PS : « KNTR » signifie tout bonnement Kronik News Travel Report

Petit conseil d’amis à lire très absolument : 

Comme d’hab’, pour les pressé(e)s et les stressé(e)s du taf, imprimez et lisez tranquille un bon trois feuilles à la main, les couilles en éventails pour certains et les ovaires au repos pour d’autres.

Au programme, du blues, des capotes usées, du bonheur et du malheur.

Du basique, du terre à terre que diable !

C’est chaud voir torride. Ca suinte, les corps se transforment sans jamais se quitter des yeux ni de la peau. Il y a cette odeur excitante qui te booste l’imagination dans des élans coïteux. La douceur de l’atmosphère enivrante contraste avec la violence des énergies déployées. La jouissance des cœurs et l’extase des corps jouent pêle-mêle dans un fracas charnel.

Et là, PAF c’est parti pour la vibration commune qui, l’espace de quelques tressaillements, nous rend éternels.

Mais que reste t’il ????? Ben ça, ça dépend. La plupart du temps, pour des rencontres ponctuelles par exemple, il va et il vaut mieux qu’il reste une ou des capotes pleines. Il va rester aussi des peaux mortes, poils et autres cheveux sur le lieux du crime. La sueur, comme tout autre fluide corporel, se colle partout puis sèche. Pour revenir sur le réceptacle élastique, le gars peux aussi s’essuyer sur les rideaux. Tout peut finir sur les draps, ou alors à l’intérieur de l’être baisé. Là les choix sont encore une fois multiples tellement les orifices ne sont pas uniques. Il reste aussi un besoin de recommencer tout de suite. L’espace d’un bout de toi, on se sent éternels et immortels. On est trop bien. Tout le corps réponds à chaque assaut des sens et des caresses.

Un coup dans l’chat, un coup dans l’pot, chapeau !

Tu l’aime à mourir. Tu te dis que c’est pour la vie mais qu’il ne faut pas y croire et là, PAF, ça y est, tu t’es fait jeté dans l’égout des sentiments tels un vieux rats pourris qui pue l’huitre marinée au chocolat. C’est la fracture du cœur et ta vie ne tient qu’à une grosse murge (classique). C’est là que, tapis dans l’ombre, un prédateur guette sournoisement l’instant propice à l’attaque. Alors alors, j’attend ... de qui l’attaque ? Du coup de blues bon diou ! C’est ce qui fait qu’on se transforme en flaque puante (alcool, clop, pets et pas de douche) tout en lâchant des « toutes les mêmes, toutes des pioutes, toutes des salopes, ... ». C’est l’heure du bastekage en règle. Pas glop tout ça mais c’est une phase obligatoire dans un tel cas.

Mais bon, ça passe toujours. Surtout quand on voit que finalement c’est pas mal aussi ailleurs. Souvent, c’est dans cette période que l’infâme chacalerie te gagne. Et là, telle une hyène en bande à toi tout seul, tu montes la ligne pour le gros histoires d’être sur de ramener quelque chose à fourrer (P’tite dédicace au Den’s qui est obligé de pêcher au gros dans des flaques toutes sèches). Généralement, avant cette chasse sportive, il est préférable d’être dans un état où la mémoire et les neurones sont allés prendre un café sur une autre planète. En effet, le critère principal étant le sexe du sujet, on peut ramener un peu n’importe quoi en taille, poids, nombre, ... C’est pour ça qu’il ne faut pas être conscient.

C’est généralement le début de la phase de reconstruction hormonomatcheuse.

Got the blues

J'ai la blues

Je n'ai plus ton amour

J'ai le blues

Je n'ai plus ta présence de velours

Je ne devrais plus te voir

Mais non....aucun espoir

Partout,

Dans la rue,

La nuit, le jour

Dans mes rêves,

Je t'aperçois devant moi

J'attends un mot : "viens"

Mais non, ..., rien ne sort de ta bouche

Je pousse un cri de désespoir

Mais non, ..., rien ne sort de ma bouche

Paralysé, tétanisé, angoissé

Me résigner serait oublier un peu vite

Ce serait résumer en deux mots

Un texte d'une infinité de maux

Alors viendras le jour où

Au détour d'une ruelle de hasard

Dans un élan d'amour fou

Je te dirai je t'Aime

Toujours je t'ai Aimée

Toujours je t'aimerais.

Rien n’y changera sûrement,

Et ta route tu continueras.

Alors je laisserais ton toi

Pour re-situer un moi

Qui depuis le début

Etait parti au rebut.

Eh non, on est jamais seul ...

C’est clair. Les amis sont là pour aider dans ces durs moments de la life. Quelquefois, l’amour se casse avec un pote. Pas cool et pas d’pot, tu perds un pote !

Mais les amis sont là pour nous accompagner dans les murges libératrices. Après tout, c’est un bon prétexte pour faire la fête entre couilles (pas mal, à essayer comme excuse).

Et il y a les potes au féminin. Il y en a parfois une qui te prendra en pitié et que tu prendras à la bourrée.

De toutes façons, l’amitié est quelque chose qu’il faut chérir de toutes ses forces car c’est la plus belle chose qui peut rester après l’amour. C’est aussi quelque chose qui, en toutes circonstances, pousse, soutient, ravive, stimule. aide, délire, ...

Et puis, quoi de plus beau que de garder son ex comme ami(e). Bon ok, pas toujours facile non plus.

Alors pour le coup, j’vous ai revisité un p’tit air des familles des 70-80’s que vous reconnaîtrez je pense ...

Y a mes amis ...

Y a une Zaza

Qu’est bien cracra

Pis l’Nicolas

Qu’en est tout fada

Y a miss Julie

La miss Pretty

Et y a le Lyonne

Dopé à l’hélium

Y a la Valé

Qu’est bien gaulée

Pis y a Eric

Qui en a la trique

Y a la grande Anne

Sans états d’âme

Et pis le Tof

Cyber-philosophe

Y a Magali

Qu’est ben jolie

Et y a le Dav’

Qu’est pas un cav’

Y a Marie-Laure

Une fille en or

Et le Pablos

Qui ronge son os

Y a la Cristou

Qui rend tout fou

Le Frédérique

Qui en est sic

Et y a Séverine

Full de vitamine

Et pis Batchi

Qui n’fait pas tchi

Y a ch’tite Marie

Qui mords la vie

Et pis Mère Denis

Ridant ses envies

Y a tout c’beau monde

Qui fait la bombe

Et remplis ma vie

Merci les amis 

Et pis y’a le Concombre Masqué, de la dimension Poznave :

Mais quoi c’est donc que ce ça là ?????? (En vous posant la question, il faut vous donner un air un peu gol, con et décollé du cerveau, ça fait plus vrai)

Et bien fille comme garçon, nous avons de nombreux outils et artifices de secours à la quête du plaisir charnel. C’est vrai, après l’amour, le plaisir reste vivant grâce à la basmurtation (c’est un anagramme pour ne pas choquer les yeux fragiles). Pour nous les hommes, nous avons Mennen pour moins puer de dessous les bras. On a aussi le bon vieux cinq contre un des familles, version mathématique de la branlette sous la douche mais sur un seul pied tout en jouant aux « Chiffres et des Lettres ».

Et oui, après l’amour, ça peut être l’heure des plaisirs solitaires. Mesdemoiselles, vous êtes mieux garnies que nous d’ailleurs. Vous avez plus le choix de la manière : doigts, godes, leviers de vitesses, bouteilles Butagaz, concombre masqué... Pour les mecs, la branlette est un fait acquis et je ne doute pas que ce soit la même pour vous mesdemoiselles ! Comme si les femmes n’étaient pas de grosses cochonnes au même titre que les hommes sont des porcs. C’est vrai que vous, les femmes, êtes généralement plus hypocrites que nous. Bien que vous les regardiez comme tout le monde, vous avez du mal à dire que vous matez les culs. Vous dites qu’on est des bourrins, mais vous vous êtes bien plus vicieuses pour arriver à vos fins. Enfin, tout ça pour en arriver là : Le jours où les femmes seront des sages sainte Nitouche, les hommes ne feront plus partie des espèces vivantes.

En tout cas Hair, la comédie musicale, l’as chanté. Musique ...Masturbation ...

Houlalaaa, ça c’est plus dur !

Après l’amour ? Mais il y a la haine. La haine de l’ex-aimé(e) qui nous a trahi. La pioute, la prostipioute ! On pète deux trois trucs histoires de se défouler. On va courir une centaine de bornes sous la tempête de neige pour se calmer un peu plus. Mais, rien n’y fait. Puis, la bouilloire s’arrête de siffler et la pression redescend. Heureusement que ça passe. Ensuite on revient toujours au point précédent « Un coup dans l’chat, un coup dans l’pot, chapeau ! ».

Mais la haine, la vraie, la pire, c’est la haine générale qui tue tout. C’est les enculés d’en face tient ! Partout où il y a une once d’indifférence, la haine s’accroche et grandit tel un fléau sourd à l’amour. Le remède ? Taper dessus plus fort peut-être ... Pratiquer la lobotomie en série aussi ... Interner tous les cons ...

Ignorance

Je vais vous parler

Des conséquences de l'ignorance.

Raconte-moi ce que tu vois

Quand tu regarde moi.

Vois-tu la personnalité

Ou la nationalité ?

Je vous parle

Des conséquences de l'ignorance.

Questions de peaux,

Questions de Blaireaux.

Ta connerie tue

Sauf si t'as capté l'quetru.

Je vous parle

Des conséquences de l'ignorance.

Que se passera t-il

Quand rendu à l'âge subtil,

De tes enfants tu seras ignoré

Quand jeune, tu laissais tes vieux de côté ?

Je vous parle

Des conséquences de l'ignorance.

Questions d'obésité, de beauté, de santé,

Une seule réponse : la dignité.

Si tu l'as perds,

Tu pars en arrière.

J'ai voulu vous parler

Des conséquences de l'ignorance,

Outils des enculés,

Et source de souffrance.

Les Sous venir

Bon ou mauvais, forcément on va en avoir. C’est mieux car il ne faut pas oublier. Comme toutes les expériences de la life d’ailleurs. On peut pas les effacer. Ce qui est dur mais pas impossible, c’est de les avaler et de les digérer. Et il vaut mieux tient ! Car PAF, imaginer si vous croisez un lutin vert-jaune-rouge et magique et qu’il vous propose de vous retrouver 20 ans en arrière pour refaire votre vie depuis la base. Eh ben pour essayer de changer des choses sans souvenirs, wallou, tout dans l’tarmat.

Avec le temps, certains mauvais souvenirs arrivent à se transformer en bons. C’est juste une question d’interprétation et de compréhension des faits passés. C’est cool quand ça arrive.

Après...

Je l’ai aimée toute une journée ...

C’était au croisement de deux rues

Que l’accident est survenu.

Ca a fait « Wahou saluuuuut ! ».

C’était parti pour le « Crac boum hue »

Pas de constat, pas de déçus,

Nous repartions las et légers chacun dans son ru.

Je l’ai aimée toute une année ...

De près comme de loin nous nous étions repéré.

Pris de cours, nos élans ont basculé.

C’était bon, pur et sucré.

Sans futur proche annoncé,

Les jours et les corps ont brillé,

Mais d’ennui nous nous sommes éloignés.

Je l’ai aimée pour l’éternité ...

Nous nous connaissions depuis long.

Mes neurones, un jour, se mirent à tourner en rond

Autour d’elle, puits sans fin de sensations

Ah que l’amour est bon

Quand il est consommé à foison,

Chaque seconde célébrant la vie de cette union.

Et après un amour furtif ..

Là j’étais en plein dedans en Chine, dans un amour furtif de quelques jours et plus. Le genre de relation où tout le monde est content mais aimerait pourquoi pas se revoir pour voir si ... mais non, on peut pas se revoir, pour circonstances atténuantes. Un peu style amour d’été pendant ta semaine de vacances à Ploug’nawouec-les-Bains, village du monde.

C’est donc la fête pendant 1 à 2 semaines. Tout est permis, tout est sourire, on se découvre un peu, on se sent bien. Et là PAF, le jour du départ est là et il faut dire au-revoir et tralala. Et là, 30 mn et 28 s plus tard, tu te retrouve tout seul dans l’aéroport. T’as plus une main dans la tienne mais un billet de retour. Et là, je me suis dis que j’avais été con de pas avoir cassé une machine histoire de prendre un peu de rab’ de bonheurosité partagé !

Qu’est-ce qu’il me reste ? Plusieurs des points précédents déjà. Mais la plus belle chose, c’est le souvenir de 2 semaines formidables passées avec une fille formidable. Mais bon point et ça suffit. Si on se revoit tant mieux, sinon tant pis.

Vous vous souvenez sûrement pas, fallait lire le KNTR#3, alors je vous la remet ... C’est aussi une chanson sur un air connu que vous retrouverez facilement.

Sunny, soleil de Beijing

Sunny,

T’as ébloui ma vie

Toute cette sainte nuit.

Sunny,

Where you gonna be

Today I can not see

Sanlitun Street,

Je cherchais l’insomnie,

Une vision top sexy,

L’éternité d’un nuit.

Oh Sunny,

I need you

But I leave you.

Sunny,

Avec toi je cries bis,

Sessions de folies.

Sunny,

I was blind unhappy

Now I can see

Sanlitun Street,

Je cherchais l’insomnie,

Une vision top sexy,

L’éternité d’un nuit.

Oh Sunny,

I need you

But I leave you.

Sunny,

Des courbes en séries,

Un soleil dans la nuit.

Sunny,

Today I feel free,

Come back to me.

Sanlitun Street,

Je cherchais l’insomnie,

Une vision top sexy,

L’éternité d’un nuit.

Oh Sunny,

I need you

But I leave you.

Sunny,

La Chine t’es trop jolie,

Ton coeur qui sourit

Sunny,

What you gonna see,

When you look at me?

Sanlitun Street,

J’ai trouvé l’insomnie.

Je suis bientôt parti,

Toi dans ma memory.

Oh Sunny,

I need you,

But I leave you.

Mais mais mais ...

L’amour peut être ce qu’il reste après l’amour.

Pour deux amoureux, après avoir fait l’amour comme des bêtes, on s’aime.

Dans une rupture, il y en a au moins un, souvent, qui aime toujours l’autre. C’est aussi pour celui-ci que les choses sont les plus dures. C’est clair, plus il en reste et plus c’est dur pour avaler le morceaux. Le mieux pour les deux, c’est qu’il n’y ai plus qu’une grande amitié. Ca rend aussi les choses plus easy pour les rechutes.

Adieux, salut, tchao, à plus, pouët cacahouètes ...

La première chose qu’il reste après l’amour ce sont les adieux. Ils peuvent être faciles, heureux, douloureux, flous, salauds, par surprise, codés, pour toujours, pour un jour, ...

Bref. Cette étape est quand même un exercice très périlleux. Quoique l’on dise, c’est de toutes façons pas bon (évidement, je parle pour moi). Il y a un phénomène inexpliqué qui me gratte entre les oreilles. C’est toujours dans ces situations que je pense à pleins de trucs à dire mais ce sont toujours d’autres choses qui sortent. J’ai peut-être un décalage d’opinion entre la bouche et le cerveau. Ou alors, un commando intercepte toutes mes idées et les changent avant qu’elles n’arrivent en bouche. Encore une fois, ça sent le complot international contre ma face. Ou alors je me suis vraiment fait enlevé par des Extraterrestres qui m’ont bricolé à l’insu de mon plein gré.

Au revoir ...

...

Ensemble,

On a trouvé l’amour

Ensemble,

On a trouvé la peine

Au revoir douce romance

Je vole à nouveaux maintenant

Tout à brûlé de notre danse

C’est l’heure de monter d’un cran

...

Ces chers petits chérubins

Et alors, ils sortent d’où eux. Pas des choux ou des roses, c’est prouvé scientifiquement. Ils viennent de nous, de nos semailles et de l’antre de nos compagnes. Ils sont normalement le produit de l’amour de la chaire, de la vie et de l’autre. Bien sur, il y a des accidents, des imprévus, ... Ben ouais mon gars, t’étais pas prévu mais t’es là quand même...

Ils peuvent être aussi un moyen de garder un couple en vie par la force. Un peu comme le mariage, cette institution économique de la secte des Cathos-Fachos. Nul. C’est ce moment qui est chiant : quand les enfants deviennent des excuses ou des prétextes. Là, l’amour est parti en courant depuis longtemps.

Sinon, plus rien

Oui, plus rien. Il ne reste rien quand on perd son amour des autres. A cet instant, le monde est le votre mais vous êtes le seul à y habiter. C’est sur que là c’est facile de faire une bande à toi tout seul. Question cinq contre un, bonjour les ampoules et les croûtes ! Il ne reste plus de respect, de dignité, de positivité, ...

En conclusion

Pour conclure, je crois que quand il n’y a plus l’amour, c’est la merde, sous la forme d’un manque, d’un malaise intérieur, d’un pétage de plomb, ...

Il est clair que ne jamais perdre l’amour, c’est bien ce qui peut arriver de mieux à n’importe qui sur cette terre. Je suis sur qu’il y a des gens, très peu, qui ne savent pas ou plus ce qu’est l’amour au sens large (Au moins à 10 participants)(ahahahah)(Pour l’amour au sens large, faut être montés gros !).

De toutes façons, sur tous les genres d’amours existants, quand on en perd un, on peut se rattraper sur un autre.

Bon ben là, je fatigue et je commence franchement à faire du remplissage. Alors comme je viens de m’en apercevoir, je vais m’arrêter là et vous souhaiter une bonne journée ensoleillée et pleine de musique. Voilà.

Tcho, bisouilles pas rasé.

Kronik.

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